Johanna Journey
Johanna Journey - Podcast
đŸŽ™ïž Pourquoi avoir choisi la campagne Portugaise aprĂšs avoir vĂ©cu 15 ans sous les tropiques ?
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đŸŽ™ïž Pourquoi avoir choisi la campagne Portugaise aprĂšs avoir vĂ©cu 15 ans sous les tropiques ?

Je m’étais toujours dis : jamais je ne vivrai dans le froid. Il ne faut jamais dire jamais.

Qu’est ce qui fait que nous avons choisi la campagne portugaise, pour nous installer, aprĂšs toutes ces annĂ©es sous le soleil des tropiques ? C’est fou comme nos besoins et nos critĂšres changent avec l’ñge et les expĂ©riences. Dans cette Ă©dition, nous souhaitons vous partager notre transition d’une ancienne façon de vivre Ă  une nouvelle, et par quoi nous sommes passĂ©s durant cette transition qui a commencĂ© il y a dĂ©jĂ  presque 3 ans.


đŸŽ™ïž Vous pouvez Ă©couter cette Ă©dition, en dĂ©marrant l’audio par le petit bouton  ▶  (dans l’app Substack), ou visiter la page du podcast pour vous rendre sur la plateforme d’écoute de votre choix.

Bienvenue dans notre refuge, nous sommes heureux de vous accueillir au coin du poĂȘle, pour un aprĂšs-midi ou une soirĂ©e d’échanges philosophiques et enrichissants. Asseyez-vous confortablement, je vous amĂšne une tasse de thĂ© 🌿

Dites-nous, qui ĂȘtes-vous vraiment ? D’oĂč venez-vous ?


âœđŸŒ Dans l’édition prĂ©cĂ©dente



 Je vous racontais pourquoi mon contenu allait drastiquement changer, tout comme ma vie. J’ai expliquĂ© pourquoi je n’étais plus la mĂȘme et que par consĂ©quent je devais arrĂȘter de partager autour des sujets qui me dĂ©finissaient 2 ans auparavant (les tarots, le cacao, les ancĂȘtres, Saint-martin, les voyages, la fausse spiritualitĂ©).

J’ai prĂ©cisĂ© que ma pause de plus de 6 mois d’Instagram m’avait fait un bien fou, que cela m’avait beaucoup appris sur mes propres mĂ©canismes et mon identitĂ©.

LĂ  aussi, un renouveau devait s’opĂ©rer, et j'ai dĂ©sactivĂ© le compte que vous avez connu, pour en crĂ©er un nouveau, centrĂ© sur le minimalisme (matĂ©riel & numĂ©rique), et le slow living.

AprĂšs publication de ce podcast enregistrĂ© Ă  chaud, j'ai eu la sensation d’avoir dit n'importe quoi, qu'il n'y avait pas de fil rouge et que je ne parlais qu'Ă  moi-mĂȘme


Mais vous m’avez Ă©crit pour me dire que certains points rĂ©sonnaient avec votre propre parcours de 2024. Et que cela vous faisait du bien de savoir que mĂȘme ceux qui sont au-devant de la scĂšne sur les rĂ©seaux, peuvent parfois ĂȘtre totalement perdus. Cette annĂ©e a Ă©tĂ©, semble-t-il, chaotique pour beaucoup.

Pour lire ou Ă©couter l’édition prĂ©cĂ©dente, c’est ici âŹ‡ïž


Tout quitter, recommencer, encore.

C’est quelque chose que nous avons dĂ©jĂ  fait plusieurs fois dans notre vie, et cela depuis tout jeune. Laissez-moi vous rĂ©sumer briĂšvement notre parcours en quelques points, avant de dĂ©velopper la phase actuelle pour rĂ©pondre Ă  la question en titre de cette lettre :

J’ai grandi en Guadeloupe, Kevin en Suisse. En 1999, mes parents et moi dĂ©mĂ©nageons au Portugal car mon pĂšre y est mutĂ© pour son travail tout comme celui de Kevin. Nous nous rencontrons au LycĂ©e Français de Lisbonne. AprĂšs le bac, je pars Ă©tudier dans le sud de la France, puis en 2004, je rejoins mon chĂ©ri en Suisse qui poursuit ses Ă©tudes d’archi.

En 2008, une fois son diplĂŽme en poche, nous dĂ©cidons de nous installer sur l’üle de Saint-Martin dans les petites Antilles et ainsi de nous rapprocher de mes parents dĂ©sormais Ă  la retraite et qui construisent leur maison de rĂȘve pour passer leurs vieux jours. En 2012, aprĂšs la naissance de notre premier enfant, nous avons tentĂ© un retour en Suisse
 Cela n’a durĂ© que huit mois avant de “rentrer Ă  la maison” Ă  Saint-Martin.

En 2021, aprĂšs la pĂ©riode du COVID, nous achetons Floki, notre camping-car, et passons nos Ă©tĂ©s au Portugal Ă  sillonner les routes. Un vent de libertĂ© souffle. Peu Ă  peu, nous nous rendons compte que Saint-Martin ne nous correspond plus vraiment. Que se passe-t-il ? En 2024, aprĂšs notre road trip Ă  travers l’Europe, nous dĂ©cidons de tout quitter pour nous installer dĂ©finitivement au Portugal, bouclant ainsi un cycle de 25 ans que je dĂ©taille ici.


Oser démarrer une nouvelle vie à 40 ans

À l’époque oĂč nous sommes arrivĂ©s Ă  Saint-martin il y a 15 ans, nos besoins Ă©taient bien diffĂ©rents :

Nous avions besoin de soleil et de plus de libertĂ©s par rapport Ă  ce que nous avions connu en Suisse. Nous aimions le climat tropical avant tout mais Ă©galement le bordel organisĂ© typique des Antilles – qui me rappelait mon enfance en Guadeloupe ; la chaleur, la mer turquoise, la conduite sans ceinture, rouler Ă  moto en claquette, rencontrer des personnes dĂ©tendues, la musique dans les rues et l’odeur des grillades Ă  chaque coin de rue, bref la vie douce et sans stress sur la “friendly island”; pas trop vite le matin et doucement l’aprĂšs-midi.

Telle Ă©tait Ă  l’époque notre dĂ©finition de paradis ou du moins ce qui s’en rapproche.

Nous pensions rester sur l’üle 4-5 ans max pour vivre une nouvelle vie et des expĂ©riences incroyables : plongĂ©es sous-marines, partir travailler en 2 roues en Tshirt dans une ambiance dĂ©contractĂ©e, s’essayer Ă  de nouveaux sports nautiques, voyager dans les Ăźles alentour, aux US, au Canada, faire des virĂ©es en bateau et participer Ă  des BBQ et campings sur de petits Ăźlots entre amis


Et puis, 15 annĂ©es se sont Ă©coulĂ©es ainsi 😌


L’expĂ©rience Saint-martinoise nous a fait mĂ»rir

Deux événements majeurs ces derniÚres années nous ont marqué et fait réfléchir:

L’expĂ©rience Irma

En 2017 nous avons connu un ouragan majeur sur Saint-martin, qui nous a fait subir un reset total. L’üle Ă©tait ravagĂ©e. La reconstruction a Ă©tĂ© longue et compliquĂ©e.

Plus d’eau, plus d’électricitĂ©, plus de vivres, plus de nouvelles, les habitants livrĂ©s Ă  eux mĂȘme, les pillages
Et si cela arrivait Ă  plus grande Ă©chelle ?

L’expĂ©rience covid

Puis c’est arrivĂ© Ă  grande Ă©chelle. Vous connaissez l’histoire, l’isolement, la mĂ©fiance des gens vis Ă  vis des autres, les restrictions, les citadins qui le pouvait partaient s’installer Ă  la campagne. Nous Ă©tions mieux lotis aux Antilles, moins enfermĂ©s, mais nous dĂ©pendions toujours des systĂšmes d’approvisionnement, des bateaux, des avions pour les besoins du quotidien.

De ces Ă©vĂ©nements nous avons appris une chose : que tout peut basculer du jour au lendemain, que nous sommes dĂ©pendant de l’extĂ©rieur sur notre Ăźle.


Ces 3 derniĂšres annĂ©es, lorsque nous partions en voyage uniquement l’étĂ© avec Floki (notre camping-car), nous revenions Ă  Saint-martin avec de moins en moins d’attaches pour cette Ăźle. Quelque chose en nous avait changĂ©. Nous Ă©tions clairement entrĂ©s dans une certaine routine malgrĂ© un cadre de vie trĂšs apprĂ©ciable ; une sorte de “routine dorĂ©e” sous le soleil. Nous aurions pu continuer Ă  vivre ainsi sans doute jusqu’à la fin de nos jours sans vraiment se rendre compte du temps qui passe. Pourquoi aller chercher mieux ailleurs alors que nous avons tout pour ĂȘtre heureux ici ?

À vrai dire, je pense que Notre cƓur avait dĂ©jĂ  dĂ©mĂ©nagĂ© ailleurs, et nous n’étions plus connectĂ©s Ă  lui lorsque nous Ă©tions lĂ -bas.

Il était temps de partir.


Alors, qu’avons-nous choisi de bñtir, et pourquoi au Portugal ?

Notre voyage d’un an en camping-car a terminĂ© de nous dĂ©voiler la suite des leçons, et dĂ©fini nos nouveaux critĂšres de paradis.

Je m’étais toujours dit : jamais, je ne vivrai dans le froid.

Le corps, lui aussi, change avec les années.
Ce que je prenais il y a longtemps comme une horreur absolue Ă  Ă©viter, et qui Ă©tait synonyme pour moi de tristesse et de grisaille, est aujourd’hui ce qui me fait du bien : le frais et le froid.

Les chaleurs tropicales en Ă©tĂ©, couplĂ©es aux brumes des sables qui Ă©touffaient notre atmosphĂšre une grande partie de l’annĂ©e, Ă©taient devenues difficiles Ă  vivre Ă  Saint-martin. Et lorsque nous Ă©tions en voyage en Europe, je me sentais plus lĂ©gĂšre et active dans la fraĂźcheur des matins de rosĂ©e.

Devenons autonomes et reprenons le contrĂŽle de nos vies

Reprendre le pouvoir sur son alimentation. Ce besoin s’est fait grandissant au fur et Ă  mesure que nous traversions les campagnes du Portugal et de l’Europe, et que nous dormions dans des fermes. Ces gens-lĂ  avaient tout compris ! De l’huile d’olive, des poules, des confitures, des sources d’eau, des panneaux solaires
 Et du goĂ»t dans leurs assiettes avec trois fois rien. Comment avons-nous pu manger ces produits alimentaires importĂ©s dans nos supermarchĂ©s sans goĂ»ts et “vides” toutes ces annĂ©es ? Du dĂ©sert du Maroc au dĂ©sert de Turquie, chacun dans son bout de terre avait de quoi subvenir Ă  ses besoins ou du moins en partie. Nous n’avons jamais aussi bien mangĂ© et Ă  profusion que dans ces endroits reculĂ©s. Nous souhaitions la mĂȘme chose, la mĂȘme indĂ©pendance, la mĂȘme santĂ© dans l’assiette venant de notre lopin de terre, en toute simplicitĂ©. Le Portugal est un pays idĂ©al pour construire cela, et de nombreux eco-villages, communautĂ©, ou familles autonome existent dĂ©jĂ . C’est un pays qui produit et fabrique Ă©normĂ©ment de choses, et oĂč l’on peut achter et consommer local.

La communauté

Reprendre le pouvoir sur ses relations. Depuis quelques annĂ©es le Portugal (pourtant trĂšs pieux !), connaĂźt un essor phĂ©nomĂ©nal dans les domaines de l’éveil, de la conscience, de la spiritualitĂ©, des mĂ©decines alternatives. Il existe de plus en plus d’évĂ©nements, de communautĂ© et de festivals avec lesquels nous sommes alignĂ©s Ă  1000%. C’est d’ailleurs Ă  la suite de deux de ces festivals en 2023, que nous avons dĂ©cidĂ© de voyager pendant 1 an (Le boom festival – oĂč nous serons en juillet prochain –, et le Sacred soul festival). Nous avons fait de belles rencontres et pris conscience qu’il Ă©tait possible de vivre autrement que ce que notre sociĂ©tĂ© nous vend.

Ne rien devoir Ă  personne

Reprendre le pouvoir sur ses finances. Pour vivre heureux, vivons cachĂ©s. Je pense la mĂȘme chose en matiĂšre de finances. Petit Ă  petit, nous investissons une partie de nos ressources financiĂšre dans le systĂšme de la blockchain. Le Portugal Ă©tant trĂšs ouvert aux cryptomonnaies, je m’y sens plus libre, et aucune entitĂ© n’a de regard sur mon abondance. Le Portugal reste encore un pays oĂč l’immobilier reste accessible et le coĂ»t de la vie relativement bas et cela est d’autant plus vrai Ă  la campagne.

Continuer Ă  voyager

Reprendre le pouvoir sur ses dĂ©placements. Le choix du Portugal est aussi un choix stratĂ©gique pour continuer nos aventures, que ce soit en camping-car ou en avion avec des billets bien plus abordables. La situation gĂ©ographique nous rapproche d’une partie de nos familles Ă©tablies entre le Portugal, la France et la Suisse. AprĂšs avoir vĂ©cu 15 ans en bord de mer sur un caillou de 90km carrĂ©, nous voulions plus de verdure, d’espace avec des terres Ă  perte de vue, des montagnes
 La possibilitĂ© de conduire longtemps avec ce sentiment de libertĂ©, et continuer d’utiliser notre Floki pour dĂ©courvir de nouveaux horizons.

Pour nos enfants

Reprendre le pouvoir sur l’instruction. Grandir dans les Ăźles a Ă©tĂ© un vrai cadeau pour nos enfants. Toujours Ă  moitiĂ© nus, dans l’eau, sous le soleil, musclĂ©s, bronzĂ©s, Ă©veillĂ©s et trĂšs actifs. Mais on le sait tous aux Antilles, Ă  partir d’un moment, il faut les envoyer Ă©tudier ailleurs (France, Canada, US
). Le systĂšme scolaire n’est pas des meilleurs passĂ©s un certain niveau, et je suis bien heureuse que mon ado a Ă©vitĂ© des rentrĂ©es boiteuses, des professeurs constaments absents ou en grĂšve et les embrouilles avec la racaille Ă  la sortie des classes. Pour leur bien, nous avons prĂ©fĂ©rĂ© les emmener en voyage, et maintenir un minimum vital d’apprentissage scolaire par nous-mĂȘme. Pour la suite, cela reste encore Ă  dĂ©finir, mais nous avons des pistes avec des Ă©coles alternatives dans la rĂ©gion que nous avons choisie.

Vivre au rythme des saisons, et non au rythme des saisons cycloniques

Reprendre le pouvoir sur son environnement. Comme je vous l’ai racontĂ© plus haut, nous ne voulions plus avoir cette Ă©pĂ©e de DamoclĂšs au-dessus de nos tĂȘtes quant aux ouragans. Nous nous Ă©tions dĂ©jĂ  remis d'une Ă©preuve, et en subir une autre aurait Ă©tĂ© inacceptable. Alors nous apprendrons Ă  suivre les humeurs qui accompagnent les saisons de l’hĂ©misphĂšre nord. Pour nous, et surtout pour nos enfants, cela en fait une agrĂ©able redĂ©couverte.

Accueillir les voyageurs que nous avons été

Faire bĂ©nĂ©ficier Ă  d’autres de nos apprentissages. Parmi les projets que nous aimerions mettre en place dans cette nouvelle phase de vie, il y a l’envie d’accueillir des voyageurs. Lorsque nous Ă©tions sur les routes avec Floki, nous dormions trĂšs souvent chez l’habitant, via le rĂ©seau Park4night. Nous aimons cette idĂ©e, et avec l’expĂ©rience, nous savons ce dont les voyageurs ont rĂ©ellement besoin. Alors, lorsque nous aurons trouvĂ© notre coin de paradis, nous ferons en sorte de pouvoir accueillir Ă  notre tour des camping-cars, vans, voyageurs en tente de toit ou Ă  pied. Nous vous dĂ©taillerons cela le moment venu.

La magie qui nous faisait défaut

Nous avons choisi le Portugal par amour, mais une rĂ©gion en particulier nous appelle : l’Alentejo.

Des chĂȘnes-liĂšges.

Des oliviers.

Et de grosses roches mystiques et vivantes.

Les lacs nourriciers et les sources d’eau cachĂ©es sous terre.

L’impression que le temps est figĂ©. Le calme, la sĂ©rĂ©nitĂ©.

C’est une terre que nous ressentons pleine de magie, et avec laquelle je me connecte.

Il n’y a pas de plage paradisiaque, ni de mer bleu turquoise, mais il y a cette prĂ©sence mystique forte que nous avons ressentie dans peu d’endroits.

Dùs que l’on y met les pieds, on la reconnaüt, elle nous reconnaüt, et on s’y sent bien.

Nous vous parlerons plus en dĂ©tail de cette rĂ©gion et de notre projet dans le prochain Ă©pisode. Abonnez-vous pour le recevoir đŸ‘‡đŸŒ

Si nous Ă©tions restĂ©s Ă  Saint-martin, nous n’aurions pas Ă©voluĂ©.

Nos besoins se résument à quoi finalement ?

À 40 ans, de maniĂšre gĂ©nĂ©rale, les gens envisagent une vie dĂ©jĂ  bien posĂ©e et rĂ©glĂ©e, un bon boulot stable en CDI, une belle maison (sans doute trop grande) Ă  crĂ©dit, une famille heureuse avec de beaux enfants, le chien et la belle voiture devant son garage pour rendre jaloux ses voisins


Voilà exactement le schéma traditionnel que nous ne souhaitons PAS reproduire (mis à part les beaux enfants et le chien).

Ce que nous voulons Ă  prĂ©sent c’est vivre mieux avec moins.

Prendre le temps.

Élever nos enfants sans stress.

Cuisiner et manger mieux.

Devenir le plus autonomes possible (nourriture, énergie...)

Être les seuls maütres de notre vie.

Passer du bon temps avec la famille.

Construire notre refuge.

Acquérir une vieille bagnole

GĂ©rer nous-mĂȘme notre argent et le faire fructifier comme nos salades.

Vous accueillir.

La simplicitĂ©, le retour Ă  l’essentiel, et l’autonomie.


Je ne pensais pas que cette lettre serait aussi longue. Il faut dire que Kevin s’est emparĂ© de mon ordinateur en voulant corriger un titre, puis il s’est laissĂ© emporter par l’écriture – ce qui m’a fait sourire – alors voilĂ  que vous vous retrouvez avec 20 minutes de lecture âœđŸŒ NĂ©anmoins, je suis heureuse de cette Ă©criture Ă  4 mains, il a toujours des informations pertinentes Ă  insĂ©rer que je n’ai pas. 💛

Nous espérons vous avoir inspiré.

Dites-nous, avez-vous dĂ©jĂ  rĂȘvĂ© d’un changement de vie radical ? C’est comment pour vous ? Comment la vie nous fait progresser actuellement, et dans quelle direction ?

Laissez un commentaire.


💭 Quelques Notes en vrac

Au sein de l’écosystĂšme Substack, existe la fonction de Notes, des mini-publications disponibles via l’app Substack. Voici une sĂ©lection de ces derniĂšres semaines, pour complĂ©ter cette Ă©dition.



Vous pouvez rĂ©pondre Ă  cette lettre pour nous Ă©crire — j’en fais la lecture Ă  Kevin — ou liker ❀ et commenter 💬 avec les boutons en pied de page.

Dans notre prochaine lettre, nous vous dévoilerons ce qui se trame en coulisses :

La suite au prochain Ă©pisode. Entrez votre adresse ci-dessous pour le recevoir 📹


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En note de fin, voici Kevin dans 10 ans (ou peut-ĂȘtre 1 an ?) 😂

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