Podcast en duo, en immersion au BOOM Festival 2025. Notre retour d'expérience en audio et en images, accompagné d'informations complémentaires sur l'esprit de ce Festival.
Wow quelle expĂ©rience et quel partage. Jâadore ces discussions Ă deux !
Je reconnais que jâai dâĂ©normes freins pour ce genre dâĂ©vĂ©nements, et pour pas mal de raisons que jâai dâailleurs pu mieux identifier par rapport Ă ce que vous partagiez.
Ce ne sont que mes propres perceptions bien sûr.
Mais en fin de compte, je pense que ce que jâapprĂ©hende le plus (en dehors des gens, de la foule hallucinante quâil y a đ± et de certaines substances qui circulent), câest lâaprĂšs, et donc la transformation potentiellement explosive que ça peut gĂ©nĂ©rer.
Et je parle en connaissance de cause puisque jâai dĂ©jĂ vĂ©cu un « aprĂšs » il y a quelques annĂ©es, Ă la suite dâun simple week-end chez des chamans mĂ©tis (et dâun rituel dâouverture dâune roue de mĂ©decine), mais je lâavais vĂ©cu seule contrairement Ă vous qui vivez tout ça Ă deux.
Ce week-end Ă©tait absolument merveilleux mais il a eut lâeffet dâune bombe, jâai vu le monde sans ses artifices, jâai sentie la vie telle quâelle pourrait ĂȘtre sans tout ce quâon sâimpose dans les illusions de notre quotidien et qui nous coupe de la vraie « rĂ©alité », je me suis dis quâon Ă©tait en tant quâhumains complĂštement Ă cĂŽtĂ© de la plaque, et plus rien dans notre maniĂšre de vivre en gĂ©nĂ©ral nâavait de sens pour moi. Sauf que ça a Ă©tĂ© trĂšs douloureux pour moi car malheureusement il a fallu que je retourne immĂ©diatement dans ce quotidien rythmĂ© par les obligations et ça a Ă©tĂ© dĂ©sastreux, trop fort. Avec mon mari et ma famille qui ne comprenaient pas du tout ce qui se passait.
Disons que jâai la sensation quâil faut pouvoir assumer les transformations qui viennent ensuite, quand on monte si haut.
Et quand on est en couple et bien je pense quâil est franchement prĂ©fĂ©rable de le vivre Ă deux comme vous le faites.
Je me souviens de ton expĂ©rience đ lâintĂ©gration est la part la plus importante de tout travail spirituel, câest mĂȘme LA partie importante, câest le pansement đ©č. Sans elle tout travail effectuĂ© est soit vouĂ© Ă lâĂ©chec, soit non refermĂ©.
Pour ce Festival et les quelques autres que jâai mentionnĂ©, il y a des cĂ©rĂ©monies dâouverture et de fermeture, comme dans tout travail sacrĂ©, et câest important de le mentionner ! Ăa veux dire que les organisateurs ont une conscience de ces problĂ©matiques et des portails qui sont ouverts đ
Notre premier BOOM a Ă©tĂ© explosif, et Ă notre retour, la redescente vibratoire a Ă©tĂ© brutale aussi, alors mĂȘme que nous Ă©tions deux (heureusement on pouvait se soutenir par phase), nous nâavions pas pris la mesure de cette expĂ©rience. On Ă©tait montĂ© tellement haut comme tu dis, sans le rĂ©aliser, que lorsquâon est revenu Ă la vie quotidienne â qui plus est dans un environnement un peu toxique â nous sommes tombĂ©s malade, grosse fiĂšvre et 2 jours au lit. On est revenu avec nos grands sourires, des cĂąlins, et on dansait, pour dâun coup ĂȘtre plombĂ©s.
Cette fois ci ça a Ă©tĂ©, le retour sâest fait en douceur car on avait dĂ©jĂ lâexpĂ©rience et le souvenir de ce retour difficile. âš
Wow quelle expĂ©rience et quel partage. Jâadore ces discussions Ă deux !
Je reconnais que jâai dâĂ©normes freins pour ce genre dâĂ©vĂ©nements, et pour pas mal de raisons que jâai dâailleurs pu mieux identifier par rapport Ă ce que vous partagiez.
Ce ne sont que mes propres perceptions bien sûr.
Mais en fin de compte, je pense que ce que jâapprĂ©hende le plus (en dehors des gens, de la foule hallucinante quâil y a đ± et de certaines substances qui circulent), câest lâaprĂšs, et donc la transformation potentiellement explosive que ça peut gĂ©nĂ©rer.
Et je parle en connaissance de cause puisque jâai dĂ©jĂ vĂ©cu un « aprĂšs » il y a quelques annĂ©es, Ă la suite dâun simple week-end chez des chamans mĂ©tis (et dâun rituel dâouverture dâune roue de mĂ©decine), mais je lâavais vĂ©cu seule contrairement Ă vous qui vivez tout ça Ă deux.
Ce week-end Ă©tait absolument merveilleux mais il a eut lâeffet dâune bombe, jâai vu le monde sans ses artifices, jâai sentie la vie telle quâelle pourrait ĂȘtre sans tout ce quâon sâimpose dans les illusions de notre quotidien et qui nous coupe de la vraie « rĂ©alité », je me suis dis quâon Ă©tait en tant quâhumains complĂštement Ă cĂŽtĂ© de la plaque, et plus rien dans notre maniĂšre de vivre en gĂ©nĂ©ral nâavait de sens pour moi. Sauf que ça a Ă©tĂ© trĂšs douloureux pour moi car malheureusement il a fallu que je retourne immĂ©diatement dans ce quotidien rythmĂ© par les obligations et ça a Ă©tĂ© dĂ©sastreux, trop fort. Avec mon mari et ma famille qui ne comprenaient pas du tout ce qui se passait.
Disons que jâai la sensation quâil faut pouvoir assumer les transformations qui viennent ensuite, quand on monte si haut.
Et quand on est en couple et bien je pense quâil est franchement prĂ©fĂ©rable de le vivre Ă deux comme vous le faites.
Je me souviens de ton expĂ©rience đ lâintĂ©gration est la part la plus importante de tout travail spirituel, câest mĂȘme LA partie importante, câest le pansement đ©č. Sans elle tout travail effectuĂ© est soit vouĂ© Ă lâĂ©chec, soit non refermĂ©.
Pour ce Festival et les quelques autres que jâai mentionnĂ©, il y a des cĂ©rĂ©monies dâouverture et de fermeture, comme dans tout travail sacrĂ©, et câest important de le mentionner ! Ăa veux dire que les organisateurs ont une conscience de ces problĂ©matiques et des portails qui sont ouverts đ
Notre premier BOOM a Ă©tĂ© explosif, et Ă notre retour, la redescente vibratoire a Ă©tĂ© brutale aussi, alors mĂȘme que nous Ă©tions deux (heureusement on pouvait se soutenir par phase), nous nâavions pas pris la mesure de cette expĂ©rience. On Ă©tait montĂ© tellement haut comme tu dis, sans le rĂ©aliser, que lorsquâon est revenu Ă la vie quotidienne â qui plus est dans un environnement un peu toxique â nous sommes tombĂ©s malade, grosse fiĂšvre et 2 jours au lit. On est revenu avec nos grands sourires, des cĂąlins, et on dansait, pour dâun coup ĂȘtre plombĂ©s.
Cette fois ci ça a Ă©tĂ©, le retour sâest fait en douceur car on avait dĂ©jĂ lâexpĂ©rience et le souvenir de ce retour difficile. âš