Couterão – Rituel de connexion au territoire : Quand ce n'est pas nous qui décidons
Comment j'ai réalisé mon rituel de connexion au territoire sur notre terrain au Portugal. Offrandes, tambour médecine et grandes transformations...
Dans ce troisième volet de notre série Couterão, je veux partager avec vous quelque chose d'intime : mon rituel de connexion au territoire. Comment j'ai posé mes offrandes, parlé aux ancêtres du lieu, et ce que cela a déclenché...
Couterão, est une série de lettres en rapport avec la terre et la ruine en pierre que nous avons achetée dans le centre du Portugal, et notre quête d’autonomie et de simplicité.
Partie 1. Couterão – Comment nous avons découvert et acheté notre nouveau chez nous : une ruine !
Partie 2. Couterão – Visite guidée de notre terrain au Portugal : Histoire du lieu & premières manifestations
Pour cette édition, j'ai voulu vous faire vivre l'expérience avec moi. Vous allez découvrir mes 60 minutes de tambour en live sur tout le terrain, mes vidéos de rituels, et cette seconde session au tambour de 10 minutes après un choc émotionnel qui a tout changé. Ma recommandation : lancer les 60 min du voyage au tambour dès maintenant pour accompagner votre lecture. Appuyez sur le petit bouton play ▶️ en haut à droite de cette page.
Puis, prenez votre temps pour vous imprégner du contenu de cette nouvelle lettre à ma sauce. 😌
Ma pratique de l’animisme moderne
Il est tout aussi important de dire au revoir, que de s’annoncer. C’est important pour les présences des lieux, mais c’est aussi important pour vous, car énergétiquement, vous clôturez / ouvrez des chapitres dans votre champ énergétique et dans votre vie. C’est une façon de tourner la page et de laisser les choses au clair des deux côtés.
Lorsque j’ai quitté l’île de Saint-martin en novembre 2024, j’ai :
…pris le temps de remercier cette île qui m’a tant nourrie en 15 ans, à remercier la maison et les murs qui ont été mon refuge, à remercier les meubles et objets chéris que j’ai légués, à remercier la terre qui m’a donné deux enfants sous ce beau soleil. (Voir cet article).
Lorsque nous avons acquis notre terrain avec la ruine au Portugal, il était évident pour moi de m’annoncer au territoire et aux présences de cette terre sur laquelle j’arrivai sans rien connaître et avec toute mon humilité.
Cela fait simplement partie de mes pratiques animistes et spirituelles.
Habiter un (nouveau) lieu
Acheter un terrain et une ruine, c’est bien plus que s’accaparer un bout de terre et des pierres sur le plan physique. Il y a aussi des informations à prendre en compte sur les plans subtils.
Habiter un lieu, c’est comme habiter un nouveau corps. Il faut le découvrir avec curiosité et amour, parcourir ses lignes (telluriques) et admirer ce qu’il cache de plus précieux, pour le préserver. Quels sont ses atouts, ses faiblesses ? C’est apprendre à connaître son réseau interne, pour faire circuler au mieux les énergies et l’eau qui le traverse. Dans ce cadre, on peut envisager l’étude géobiologique et énergétique d’un lieu avec un expert. C’est ce que nous mettons en place avec
depuis le début de cette aventure. (Découvrir ces informations dans la lettre précédente).Habiter un lieu, c’est partager un territoire avec des présences – subtiles ou non – qui étaient là avant nous. C’est se présenter pour annoncer ses intentions et pour montrer que l’on n’est pas là en terrain conquis, mais bien là en tant qu’invités, pour espérer être accepté, entrer en bons termes avec ces présences, puis créer un échange dynamique et sain qui profite à tous.
C’est ce deuxième point que je vais aborder aujourd’hui.
Toujours, partout, j’honore la vie invisible qui guide nos pas, et les ancêtres de nos lignées qui veulent que nous réussissions ce qu’eux n’ont pas pu atteindre, pour la guérison des lignées à venir. (Source)
Mise en contexte
Laissez-moi vous situer le contexte pour comprendre la suite.
Couper les eucalyptus, et nettoyer le terrain
Lorsque nous sommes arrivés sur le terrain en avril dernier, nous avons mandaté une entreprise pour nous aider à défricher le terrain, car nous avions prévu de suivre les travaux de rénovation en étant sur place avec notre camping-car.
Il s’agissait de dégager les ronces qui avaient pris possession du terrain, de faire une taille en bonne et due forme des 50 oliviers, et d’agrandir notre entrée en traçant un chemin plus large pour que nous puissions y entrer avec le véhicule. Ce qui impliquait d’abattre 3 grands eucalyptus d’une vingtaine de mètres de haut à cet endroit.
→ Si vous avez visionné notre vidéo précédente, vous avez eu connaissance de cette problématique.
Sauf qu’entre début avril et fin mai lorsque nous sommes revenus – nous ne sommes pas toujours sur place – l’entreprise en question avait travaillé en notre absence, mais n’avait accompli qu’une partie du travail, à savoir : la taille des oliviers et les ronces.
Nous attendions toujours que cette entrée soit dégagée pour pouvoir stationner enfin chez nous, ce qui nous obligeait à rester en dehors de l’enceinte sur un petit chemin public.
Je savais au fond de moi que les choses n’évoluaient pas parce que je n’avais pas officiellement présenté ma famille à ce lieu, et que je n’avais pas fait mon rituel de connexion au territoire. La porte, n’était pas ouverte.
La plupart de nos demandes de devis sur les autres postes de rénovation (eau, elec, charpente, murs…) n’étaient pas honorées non plus, et personne ne répondait à nos relances. Nous étions dans l’attente sur tout le monde…
L’indécision face aux eucalyptus
Mis à part le fait que ces arbres nous bloquaient le passage, nous avions d’autres raisons de vouloir les abattre :
Risque élevé de départ de feu
Risque de chute sur camping-car ou futurs installations
Les eucalyptus génèrent beaucoup de déchets avec leurs écorces et feuilles
Mais après de nombreuses relances restées sans réponses auprès de l’entreprise mandatée, nous avons abandonné tout espoir qu’elle vienne terminer le travail dans les temps. Car la période de taille des arbres était passée, et les autorisations pour la coupe de bois étaient également terminées, à cause des risques d’incendies.

Nous avions donc décidé, après de longs débats, de laisser le terrain en l’état jusqu’à l’automne, et de garder les eucalyptus.
De toute façon, les travaux n’allaient pas démarrer de sitôt, puisque nous n’avions pas de réponse non plus des autres entreprises. Et puis, l’été allait arriver avec son lot de visites familiales, festivals, et pauses estivales (oh purée je viens de faire le lien entre Fest (fête) et Estival = festival 😲).
Sauf que nous n’avons pas averti l’entreprise de cette décision tout de suite, pensant qu’elle ne viendrait plus…
Rituel de connexion au territoire
Il était temps pour moi de mettre en place sérieusement ce rituel que je repoussais déjà depuis trop longtemps.
Les offrandes
Il y a un endroit sur le terrain qui m’attire particulièrement, et où j’aime aller m’asseoir le matin pour apprécier ma boisson chaude avec une jolie vue sur la maison et la montagne. Et pour cause, c’est une grosse roche de granite surélevée qui est placée en plein sur la ligne tellurique qui traverse le terrain.
Depuis longtemps j’avais désigné cet endroit pour accueillir les offrandes de mon rituel, avant même de connaître les caractéristiques géobiologiques de l’endroit.
Ce matin-là, j'ai posé mes présents sur la roche, dans de jolis bols en terre cuite, que nous avions récemment récupérés au festival des soupes local. Comme de par hassaaard 😌 :
Pain
Lait
Miel
Vin
Un bouquet préparé avec les fleurs sauvages du terrain
Ma lettre manuscrite, où je me suis adressée au territoire, aux esprits du lieu, aux esprits végétaux, aux chênes maîtres et à la maison.
Un encens mis à brûler (avec précautions) et renouvelé plusieurs fois
J'ai laissé mes offrandes toute la nuit sur la pierre, puis elles ont été rendues à la terre le lendemain à la même heure.
🎧 Vous pouvez écouter la lecture de ma lettre ci-dessous :


Le pèlerinage au tambour chamanique
En fin de journée, j’ai démarré la seconde partie de mon rituel avec un pèlerinage qui m’a amené à faire le tour du terrain, tambour à la main, en suivant au plus près le mur d'enceinte en pierre, et en passant par les points importants.
Le point de départ de ce pèlerinage était le rocher aux offrandes. Comme à l’accoutumée, je laisse libre cours à mon intuition, et aux sons et paroles qui veulent passer par mes cordes vocales. Mes pieds sont guidés et me mènent là où il est nécessaire que je passe.
Je ne m'adressais pas vraiment à qui que ce soit en particulier, mais selon certains points du terrain, il y avait parfois des visages dans les arbres. Donc je m'adressais à eux.
Durant ce tour du terrain, je me suis adressée à chacun des grands chênes, en terminant par le chêne maître. J'ai chanté Idé wéré wéré aux deux puits pour honorer l’esprit de l’eau. Le soleil était si présent et lumineux que j’en ai eu la gorge serrée, j’ai chanté pour lui aussi. Puis, je me suis dirigée vers la maison.
🎧 Vous pouvez écouter ce pèlerinage d’1 heure ci-dessous, c’est le même que la voix-off de l’article :
Dans la ruine, les présences du passé
Lorsque je suis arrivée vers la maison, mon rituel de bénédiction et de remerciements s’est soudain transformé en rituel de purification, sans que j’en aie vraiment conscience. Alors que jusque-là, je longeais la ceinture du terrain et m’arrêtais aux points importants, cette fois-ci, je me déplaçai avec une intention de quadrillage. Il fallait couvrir de vibrations élevées tout l’espace et chaque angle.
C’est au niveau de la cheminée que quelque chose a changée, et vous pourrez le ressentir à l’écoute. Mon tambour et ma voix ont pris une autre tonalité, plus forte et plus puissante pour dégager quelque chose. Jusqu'à ce que je sente que l'énergie se stabilise.
J'ai eu la vision d'un homme (ou deux) assis sur un tabouret près du feu. Je n’ai pas ressenti d’émotion heureuse. Plutôt une sensation de fatalité et de découragement qui accablait cette silhouette sombre.
Enfin, je suis retournée au point de départ de ce rituel : le rocher sur lequel j’avais déposé mes offrandes. J’étais comblée et satisfaite.



Le lendemain matin, j'ai complété le rituel avec une troisième partie. Comme j’avais senti des choses dans la maison, et en particulier près de la cheminée, j’ai eu besoin d’en rajouter une couche.
J’ai placé cinq bâtons d'encens aux quatre angles et un au centre, ainsi qu’une bougie dans la cheminée en offrande à cet homme, pour lui dire : “Je te vois, j’ai ressenti ta détresse, tu n’es pas oublié, je ferai de mon mieux pour rendre vie à cet endroit que tu as bâti”.
Il manquait tout de même une étape de clôture à ce rituel : le placement de sel dans la maison. Mais je n’en avais pas sous la main à ce moment-là, alors j’ai reporté…
Le lendemain, la panne.
Le lendemain de ces actions, notre camping-car Floki tombe en panne.
C’est assez important pour nous obliger à quitter la place et partir trouver le garagiste qui pourra s’en occuper. Ce dernier trouve la source du problème – c’est la pompe de direction qui est dead – et nous annonce qu’il doit commander la pièce. Seulement, elle mettra 2 jours à arriver et un week-end se glisse au milieu, ce qui fait que nous restons bloqués sur un parking de piscine communale pendant 5 jours.
Kevin : “je suis sûre que le mec va venir ce week-end couper les arbres, pendant qqu’on n’est pas là”.
Moi : “mais noooonnn… il viendra plus j’te dis”
👀
Le choc du retour
Lorsque Floki a été réparé, nous sommes rentrés. Déjà en haut du chemin j’ai vu que quelque chose avait changé à l’horizon.
Moi : “Je crois qu’on a plus d’arbres.”
On s'est regardé avec Kevin, et on n'a plus rien dit.
Il faut que je vous dise que j’avais passé une journée de merde.
Après 5 jours sur ce parking, il fallait penser au ravitaillement avant de retourner au terrain, ce qui implique :
Retourner jusqu’à Castelo Branco faire les vidanges
Faire le plein d’eau
Prendre une douche chacun (nous sommes 4)
Faire des courses
Revenir sur le terrain
Total = 4h de logistique avec des températures d’été.
Alors quand nous sommes arrivés, et que j’ai eu cette vision de destruction, ça a été une émotion violente supplémentaire à gérer, et j’ai fondu en larmes… Avec le recul, j’ai analysé ce sentiment qui était celui d’une grande perte.
Je parcourais le terrain en pleurant et en disant pardon, pardon, pardon !!
Dans mon esprit, j’avais fait exactement ce que je ne supporte pas de voir dans le milieu ésotérique et spirituel : arriver en terrain conquis, coloniser, changer les choses sans demander, s’approprier et dégrader…
J’étais à la fois Neytiri qui voyait son arbre sacré tomber, et à la fois le colonisateur qui regrettait amèrement ses décisions.




D’autant plus qu’en 5 jours, le climat avait changé, et nous étions passés d’un coup du printemps vert et frais à l’été chaud et sec.
Le terrain avait été ratiboisé – comme nous l’avions demandé – et paraissait du coup désertique et brûlé par la chaleur.
🎥 Vous pouvez visionner cette partie émotionnelle dans la vidéo vlog précédente.
Le dessin et le pendule
Durant ces 5 jours d’exil, j’ai dessiné quelque chose de totalement instinctif, alors que les enfants nous réclamaient un atelier dessin en famille pour passer le temps. Sur le moment évidemment je n’ai pas compris le sens de ce dessin : Une souche d’arbre tranchée, avec des ouvertures au niveau de l’écorce qui faisaient passer la lumière.
Avec l’aide d’Audrey (
) qui m’a suivie durant cette semaine éprouvante, j’ai pu éclaircir la situation et dialoguer avec les arbres, le lieux, et les présences grâce au pendule.

“J’avais dessiné du jaune tout autour de l’écorce, mais je ne sais plus si j’ai dessiné ça pour de la lumière qui s’en échappe ou si c’est du feu ?”
Libération et don de soi
Sans attendre, j’ai pris mon tambour, et j’ai été remercier les eucalyptus pour leur sacrifice, demander pardon, et libérer ce qui devait encore l’être.
Voici la version complète de cette session au tambour (qui avait été tronquée dans l’article précédent).
🎧 Écoutez en présence :
Durant ce moment de profonde connexion et libération, j’ai perçu deux demandes de la part de ces arbres :
“Trouve une de mes branches et façonne une nouvelle mailloche pour ton tambour. Ainsi, je continuerai de servir et d’être présent sur cette terre d’une autre façon.”
“Le chêne, doit rester le maître.” (Faisant référence au chêne maître du terrain, dont je parle ici)
Ce qu’il s’est passé après le rituel
Renaissance et synchronicités
5 jours après cette libération, Kevin m’appelle pour venir voir quelque chose de dingue. Sur les souches des eucalyptus, étaient regroupés par dizaines des papillons, et des scarabées, venus siroter l’essence des arbres tombés…
Les scarabées, symboles millénaires de renaissance et de transformation cyclique, célébraient la mort qui nourrit la vie. Les papillons nous rappelaient que toute destruction peut devenir métamorphose. "Transformation et renaissance. Deux porte-bonheur" m’a dit Audrey.
Ouvertures et déblocage
Il me restait l’étape du sel, que je n’avais pas eu l’occasion de placer dans la maison avec toutes ces histoires. Cette dernière action dans la matière, réalisé à la pleine lune de mai, a été la clôture d’une semaine de rituel, de manifestations, et de synchronicités.
J’ai acheté 1kg de gros sel, que j’ai réparti en tas aux quatre coins de l’intérieur de la ruine, puis avec le reste, j’ai ceinturé tout le carré intérieur. Et à partir de là, tout s’est ouvert, au sens propre comme au sens figuré. Depuis que les arbres étaient tombés, tout devenait fluide.
Nous avons rencontré des Français dans le village, qui nous ont donné de bons contacts, et intégré dans un groupe whatsapp...
Nous avons finalement trouvé une entreprise avec un jeune super dynamique qui nous répond, envoi les devis, et qui peut s’occuper de plusieurs aspects dans la rénovation de la ruine.
Ma maman – qui cherchait aussi un bien à acheter proche de nous – a trouvé sa petite maison en pierre à 15min, et signé l’achat en 15 jours.
Un nouveau compagnon a rejoint la famille en la personne de Charlie 🐈⬛, un petit chaton noir et blanc que nous avons adopté, alors qu’il était donné au marché avec ses petits frères.
Le territoire savait ce dont il avait besoin pour renaître. Il nous a juste fallu lui faire confiance et accepter sa décision. Il a dû nous écarter pour cela. Parfois, les événements sont des réponses.
Pourquoi est-ce que je vous raconte tout ça ?
Parce que vous aimez bien … 🤩 😜 haha.
Plus sérieusement. Pourquoi exposer mes rituels, mes émotions brutes, cette connexion intime au vivant ?
Nous vivons dans un monde qui nous a déconnectés de l'essentiel. Un monde où acheter une terre signifie la posséder, la transformer sans se soucier de son histoire, imposer notre vision sans écouter les signes.
En vous montrant ma démarche, j'espère vous rappeler qu'il existe une autre façon d'habiter cette planète, nos demeures, nos terres. Que cela soit en tant que collectif ou individuellement. Une autre façon, qui commence par reconnaître qu’il existe différents plans d’existence et donc différents êtres dans ces plans, et qui finit par l'humilité et le respect.
Aussi, je veux souligner quelque chose qui à mes yeux est important dans le domaine du néo-chamanisme, du spirituel et de l’ésotérique, en ce qui concerne les rituels de façon générale :
Vous n’avez pas besoin de protocoles débilitants et trendy pour communiquer avec l’invisible.
Vous n’avez besoin d’aucun matériel.
Ce dont vous avez réellement besoin, c’est votre cœur pur, votre intention noble, et une totale confiance en votre intuition.
Cette authenticité que j’exprime à travers mes contenus, c'est exactement ce dont nous avons besoin pour retrouver notre humanité.
Si cette lettre vous inspire à saluer le vieil arbre de votre jardin, à remercier votre maison qui vous abrite, ou à allumer une bougie en mémoire de ceux qui ont été là avant vous... alors ma mission est accomplie.
Car renouer avec l'invisible, c'est renouer avec nous-mêmes. Et c'est par là que commencent tous les changements.

"L'animisme établissait entre la Nature et l'Homme une profonde alliance hors laquelle ne semble s'étendre qu'une effrayante solitude." — Jacques Monod
Dans le prochain volet de cette série, je vous emmène découvrir les premiers travaux dans la ruine – on démarre des jours ci 🤞🏼– et les nouveaux secrets qu'elle nous révèle...
Ancêtres & territoire : ressources pour démarrer
Voici des ressources complémentaires qui vous permettront de mieux comprendre la thématique abordée dans cet article.
Pour prendre connaissance du sujet :
Ancêtres du territoire : pourquoi se connecter aux gardiens du lieu
Guide pratique : Rituel pour honorer les Ancêtres du territoire
Pour approfondir votre pratique :