🎙️ Sur les routes – Un retour précipité et 2 grosses annonces

Dans cette édition, je veux vous raconter ce qui s’est passé en Septembre, pourquoi nous avons écourté notre voyage retour, et vous faire deux annonces importantes.

Dans cet épisode, je vous emmène dans les coulisses d’un voyage en famille qui a pris une tournure imprévu. Après un périple à travers la Grèce, les Balkans, et l’Italie, une série de mésaventures sanitaires précipite notre retour vers le Portugal. Découvrez comment une simple erreur d'inatention a bouleversé notre voyage, et comment cette expérience de fatigue et de mal-être a réorienté nos priorités.

Cette lettre est longue et sera certainement tronquée dans votre outil de messagerie, dans ce cas lisez la dans votre navigateur.

📍Je vous écris cette lettre depuis “chez mamie” au Portugal, où nous logeons actuellement dans les studios annexes. Ma tête ce jour-là alors que j’essaye de me détendre en remettant en place mon espace sacré.

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✋🏼 Pause.

Posez-vous confortablement, allumez une bougie pour vous-même et vos ancêtres, pour ce moment de lecture lente que vous vous octroyez, et lancez la playlist que je vous partage dans cette édition avant d’entamer cette lecture.

Ce mois-ci je veux vous partager une toute nouvelle playlist, constituée sur la route du retour. Elle a des airs de mélancolie et d’automne, avec une touche de douceur. C’était ce dont j’avais besoin ces dernières semaines, car elles ont été compliquées. Je me suis raccrochée à cette image de maison dans la brume douillette et sécuritaire chaque jour pour pouvoir avancer. Voici donc la playlist A new Home•Hope 🍂👇🏼

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✍🏼 Dans l’édition précédente…

…pas de longues réflexions personnelles, à ce moment-là j’avais envie de quelque chose de plus léger. J’y ai partagé quelques nouvelles depuis la Grèce, des inspirations, et des Notes en vrac. Pour lire ou écouter l’édition précédente, c’est ici ⬇️

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🚌 Un retour précipité

Nous continuions d’avancer sur notre chemin de retour après la Grèce en passant dans les Balkans. Nous étions au Monténégro lorsqu’un matin, Nolan – mon aînée – se lève avec un mal de ventre, il n’est pas dans son assiette et se recouche un moment en attendant de reprendre la route. Aux premiers kilomètres parcourus il se met à vomir deux fois. Je le soutiens avec sa petite poubelle et son sac dans les virages. Nous pensons que c’est juste le repas de la veille préparé la veille par la dame du spot Park4night qui est mal passé (cuisine sommaire, propreté qui laisse à désirer, toussa toussa…).

Nous prévoyions de visiter les monastères d’Ostrog et donc nous maintenons le programme et nous dirigeons vers ceux-ci. C’est un monastère niché contre une paroi rocheuse et donc il faut y monter par des routes sinueuses et escarpées comme je les aime 😒 ... en plus de devoir tenir le sac à 🤢

Je laisse Kevin et Zach – mon petit deuxième – aller faire la visite pendant que je reste avec Nolan au Camping-car qui se repose. La visite est de courte durée, car après avoir emprunté le sentier qui mène au monastère et gravi les dernières marches pour atteindre la terrasse afin de contempler la vue, Zack pose une énorme galette à côté du clocher…😭

De retour au camping-car, nous faisons un triste bilan, les enfants sont tous les deux malades.

Nous reprenons la route sinueuse, nous nous trompons de route pour redescendre et nous empruntons un chemin beaucoup trop étroit avec des tunnels rikikis, pour ajouter au stress déjà présent. Pendant que Kevin roule, maman soutient ses deux enfants à l’arrière qui cette fois, vomissent en miroir, l’un en face de l’autre, avec chacun sa bassine.

Je me sens impuissante et choquée. Cette image me hante encore.

Le soir nous nous arrêtons dans un petit camping vide, au milieu de nulle part. La journée a été très difficile, éprouvante, impressionnante et traumatisante pour moi et les enfants qui n’ont jamais été aussi malades.

J’ai peur.

Qu’est-ce qu’ils ont ?
Et si c’était grave ?
Nous sommes loin de tout.
C’est quoi le numéro des urgences dans ce pays ?

Je demande à Kevin s’il peut rouler toute la nuit : “Mais il reste au moins 20h de route?!”

Je commence à faire une crise d’angoisse et j’ai mal au ventre.

Je sens que ça va bientôt être mon tour. Ce qui n’a pas loupé.

Je serais malade toute la nuit.

Coucher de soleil au spot où nous avons dormi au Monténégro chez des particuliers très acceuillants.

Seul le Captain Kek est resté vaillant et fort 💪🏽

Heureusement car, comment aurions nous fait si nous avions été malades tous les 4 ?! Personne pour conduire, pour aller chercher de l’aide, pour acheter de l’eau, des médicaments, nous mener aux urgences…

Nous essayons de comprendre ce qui s’est passé et nous nous repassons le film de ces derniers jours : nous nous souvenons alors que nous avions bu les enfants et moi ces verres d’eau du robinet avec des glaçons lors de notre commande de café en Albanie, juste avant de passer la frontière vers le Montenegro. Nous avons attrapé une bactérie dans l’eau.

Kevin était le seul à ne pas en avoir bu… 🚱

J’ai à nouveau peur.

Je pense à des maladies graves comme la dysenterie, la salmonelle, un e. Coli, et même le choléra… Je dors avec un oeil ouvert et le moindre mouvement m’alerte, dois-je amener une bassine à quelqu’un ? 😨 Je vous passe les détails quant à l’orgnisation dans un camping-car face à tout cela.

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Les jours suivants se passent plutôt bien, c’est moins traumatisant que le J1, mais nous ne sommes pas en forme, toujours ce poids sur l’estomac, et Nolan se plaint encore de crampes et de douleurs dans le ventre.

Nous continuons d’avancer : Bosnie, Croatie, Slovénie, Italie, en esquivant les visites des pays par lesquels nous passons. Quelque chose nous a quittés depuis 1 semaine, et nous désirons ardemment rentrer chez mamie (au portugal).

J’ai besoin de me sentir en sécurité. Dans un environnement connu. D’avoir tout ce dont j’ai besoin en cas d’urgence à portée de main.

Mon état d’esprit à shifté, je n’en peux plus de ce voyage.

C’est devenu un cauchemar.

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Arrivés en Italie nous souhaitons faire un arrêt à Venise – surtout Kevin – pour visiter cette ville unique. Mais Nolan ne va pas bien, il se plaint toujours de douleurs, et puis il va pleuvoir alors… Nous attendons 3 jours que “tout passe” entre un camping blindé et un parc.

C’est seulement au bout d’une semaine que Nolan sera libéré par un dernier vomito sorti de nulle part… Nous faisons la visite de Venise le lendemain.

📍 Venise

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Venise, la goutte d’eau qui a fait déborder le vase.

Venise a été la goutte d’eau de trop.

Après avoir marché toute l’après-midi, les enfants sont épuisés, j’ai moi-même de grosses douleurs au ventre qui dureront jusque tard dans la nuit. Car en vrai je ne suis pas entièrement guérie non plus, et cela durera encore 3 jours.

J’ai trouvé la ville abîmée, moisie, trop touristique bien sûr, avec encore ces vendeurs de babioles comme on en trouve partout dans le monde, des bâtiments grisâtres et dépourvus de chaleur que j’ai maintenant vus 10 000 fois en 1 an. L’overdose. La déception.

Kevin est très déçu car il était resté sur les impressions de sa première visite solo il y a 13 ans, et espérait que nous partageâmes son enthousiasme. Nous quittons Venise énervés après une dispute, tendus, distants l’un de l’autre.

Ce fût un fiasco.

C’était le vendredi 13 septembre. Coïncidence ou pas, cette étape marque également la fin totale des visites de notre périple. Je crois que nous avons tous atteint nos limites, la fatigue a pris le dessus et les enfants ne rêvent que d’une chose désormais : retourner au Portugal.

Cette étape marque une cassure radicale dans notre voyage et annonce sa fin.

Nous devions passer par les Dolomites, puis la Suisse pour aller voir la famille, et le sud de la France aussi…

Mais nous décidons un retour accéléré par autoroute.

Pas de dialogues entre nous, chacun est dans sa bulle.

Nous faisons alors une “Sebinite” (clin d’œil à deux amis) de Venise vers Grenoble, que même le GPS de Polarstep n’a toujours pas compris…

La Sébinite.

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🦿 Floki sur les rotules

Ce qui est drôle, c’est que les dernières semaines, tout comme nous, Floki – Notre camping-car – commençait à montrer lui aussi des signes de faiblesse et même des avertissements :

• Un voyant lié aux freins a commencé à s'allumer la semaine de Venise, cela n’aurait pas été judicieux d’entamer des routes de montagnes ainsi.

• Les deux rotules avant étaient ouvertes, déchirées, et du liquide s’en écoulait. On ne peut s’empêcher de penser à l’expression … Floki était lui aussi sur les rotules.

• La ventilation avant avait lâchée en Grèce, nous n’aurions pas pu nous chauffer dans les cols et les montagnes des Alpes.

• De bruits mécaniques que nous n’avions pas au départ sont apparus.

Rotules gauche et droite de la partie roues avant

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📍 Turcifal, Portugal – Chez mamie

Nous rentrerons en 3 jours, à raison de 5h à 8h de route par jour.

Les sentiments qui nous habitent à notre retour sont multiples :

Nous sommes soulagés, nostalgiques, tristes, libérés, éreintés, déçus…

Les enfants ont envie de jouer à la console toute la journée. Qu’il en soit ainsi. Je ne vais pas me batte. Pas tout de suite. J’ai besoin de dormir sans interruption. Kevin à besoin de réfléchir à la suite et ne se repose pas l’esprit. Chacun a besoin de décompresser à sa façon et prendre ses vacances de ce voyage intense.

Aujourd’hui j’ai besoin de me remettre en douceur de tout ce que nous avons vécu, aussi fabuleux que difficile.

J’ai besoin d’un cocon de sécurité et de simplicité moelleuse où me ressourcer et faire un reset. J’ai besoin d’un automne intérieur et cosy.

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🫥 Un mois de Septembre sous le signe du vomito

Aujourd’hui lorsque je vous écris, nous sommes le 2 octobre.

Je souhaitais quitter l’énergie de ce mois de Septembre avant de pouvoir écrire.

Car après notre retour, nous avons continués d’être malades. Sans trop m’attarder encore sur les détails, Kevin y est passé – dans une moindre mesure – puis Zachary à nouveau, avec un passage à l’hôpital, et quelques jours de crises d’angoisse infantile.

Aujourd’hui tout est derrière moi. Et je suis là, tranquillement assise avec ma toute première tasse de cacao sacré entre les mains, après 6 mois sans ma médecine, ma boussole, pour enfin écrire.

Si je devais résumer la fin de ce voyage par une musique ce serait celle-ci :

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Notre grand voyage 🚌💨🍃

Vous pouvez désormais retrouver la totalité de notre voyage d’un an, via notre page Polarstep. Il est divisé en chapitres, les plus important étant le chapitre 2 au Maroc, et le Chapitre 3 jusqu’en Turquie.

Nous avons aussi édité cette semaine nos carnets de voyage format papier, nous vous les montrerons à réception, dans une prochaine édition de cette newsletter 😊

👉🏼 Pour retrouver nos lettres nomades depuis le début du Voyage, je vous invite à lire les éditions ci-dessous :

Lettre nomade de Février : Pourquoi j'ai quitté Instagram & ce que je traverse en ce début d'année 2024

Lettre nomade de Mars : Ce que les sables du Maroc nous auront appris

Lettre nomade de Juillet : Nous sommes à mi-chemin. Mais où en sommes nous exactement?

Lettre nomade d’août : News, inspirations, notes en vrac et légèreté

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🎞️ Dans ma pellicule

Ce mois-ci dans ma pellicule, il n’y a pas autant d’images que d’habitude, car je n’étais pas disposée à en faire, et l’ambiance ne s’y prêtait pas, mais voici tout de même quelques moments clés :

Ravalement de façade bien mérité : Un passage chez le coiffeur + retrouver le plaisir de se maquiller et de s’habiller pour sortir.

L’attente en pleine nuit aux urgences pédiatrique de l’hôpital d’une autre ville pour Zachaillou qui était à nouveau malade.

Lessives infinies au retour du voyage. Tout à jauni, est plein de poussière. Tout y passe. On se rend compte à quel point le camping-car est vraiment sale, après un an de vie à 4 jusque dans les sables de Turquie.

Douce balade au bord de mer, il fait bon sous le soleil. 📍 Plage de Santa Cruz, Portugal.

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📣 ANNONCE - 3 nouvelles rubriques sont nées

J’ai trouvé un rythme d’écriture sur Substack qui me plaît énormément. Je prend grand plaisir à écrire ici, mais pendant longtemps mes idées n’ont pas été claires quant à l’organisation des différents sujets que je partage ici. Parler de la médecine du cacao, des Ancêtres et en même temps de substack dans mes lettres de voyage ne collait pas.

J’ai donc réfléchi à la façons dont j’allais séparer les différents sujets dans 3 rubriques :

Johanna Journey — Depuis la campagne Portugaise, je documente ma transition vers une vie slow & authentique. Entre rénovation d'une ruine et explorations des mystères cosmiques, j'écris sur la transformation personnelle et l'art de vivre animiste.

Cœur de cacao — Tout ce que vous devez savoir sur la médecine ancestrale du cacao sacré. Enseignements, guides pratiques, rituels, ressources & méditations.

La voix des ancêtres — Enseignements, guides pratiques et méditations guidées, pour renouer avec vos racines, guérir vos lignées, et voyager dans les mondes subtils.

Carnets secrets – Accès payant – Mes journaux intimes de ces 10 dernières années. Visions, rêves, passages de vie, sans filtre. Dans le désordre de la vie.

Atelier du scribe 📜 — Atelier du scribe t'aide à démarrer sur Substack, pour éditer ta première newsletter sur la plateforme, en partant de zéro. Chaque semaine, je t'envoie des guides pratiques pas à pas, des ressources, et des inspirations ! Rejoins-nous !

Ce qui est bien, c’est que la quasi totalité des contenus est déjà rédigé, je dois simplement les adapter à un format newsletter hebdomadaire. Pour certaines de ces newsletters, vous trouverez déjà du contenu importé, pour d’autres, ils arriveront cet automne.

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📣 ANNONCE - Nous vendons notre maison sur l’île de Saint-martin

Oui, c’est une grosse annonce. Chers amis de l’île de Saint-martin, nous avons décidé de poursuivre nos rêves ailleurs 💛 nous mettons donc notre bien en vente, un duplex de 80m2 dans la baie d’Anse Marcel. Contactez moi directement si vous souhaitez recevoir l’annonce, autrement merci de faire tourner le bouche à oreille.

La bonne nouvelle, c’est que nous serons sur l’île en Novembre, pour venir liquider nos affaires, écrivez-nous sur whatsapp 🥹 🫂

Vous vous demandez peut-être où nous avons décidé de nous établir. Ceci est encore à définir, même si nous avons notre petite idée.

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🪵 L’aventure s’arrête là… ou pas.

Même si ce grand voyage est terminé, que je ne peux plus voir mon Floki en peinture, et que je souhaite me reposer un (long) moment, cela ne veut pas dire que nous ne repartirons pas un jour. Mais nous le ferons différemment : moins longtemps, peut-être uniquement à deux, et sachant qu’un chez nous cocoon et sécuritaire nous attend au retour.

Cette aventure à pris fin, mais elle ouvre la voie à d’autres : une nouvelle vie, une nouvelle installation, des idées, des projets…

Dans cette édition de nos lettres nomades, j’évoquais le fait que ce voyage était comme une parenthèse nécessaire, et que grâce à elle, nous pouvions redéfinir les contours de la vie que nous souhaitons construire aujourd’hui, grâce aux leçons apprises sur la route.

Vie d’avant ( le voyage ) vie d’après

Cette parenthèse, c’est là où nous nous trouvons. Elle a un début (, et elle a une fin ). Cette parenthèse est un processus qui est encore en cours.

Il a démarré au Maroc, et il continu de se déplier. C’est un processus long, qui nous a demandé de quitter des peaux de l’oignon 🧅 ou des mues de serpent 🐍 comme vous voulez (il y en a un plus mystique que l’autre, quoique…).

C’est un processus qui nous a demandé d’abattre des croyances et d’aller voir plus loin encore. En fait, plus nous avançons, plus nous réalisons des choses, et plus cela nous rapproche de la parenthèse de fermeture, ce qui nous permet de commencer à distinguer des choses à travers elle comme dans une lentille de contact, l’horizon qui se trouve derrière.

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💭 Quelques Notes en vrac

Au sein de l’écosystème Substack, existe la fonction de Notes, des mini-publications en interne qui fonctionnent avec un feed, avec la possibilité de commenter, taguer, repartager, et donc de se faire connaître au sein de la communauté. Voici une sélection de ces dernières semaines, pour compléter cette édition.

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À l’heure de fin de ce voyage, nous pouvons maintenant faire un bilan de ce que nous ne voulons plus, et ce que nous voulons pour notre avenir. Je vous en ferai part dans les prochaines newsletters de bilan de ce voyage qui seront publiées en plusieurs parties. J’aborderai :

• Le voyage en chiffres

• Les leçons par pays

• Ce que nous voulons et ce que nous ne voulons plus

• Les meilleurs et les pires moments

• Nos outils d’organisation en voyage et camping-car

• Les projets futurs

Nous arrivons à la fin de cette newsletter. J’espère que vous l’avez appréciée, je prend beaucoup de plaisir à vous écrire. Mettre sur le papier mes expériences et mes émotions est une vraie médecine.

J’aimerais terminer par une anecdote !

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🙃 Anecdote

Vous vous souvenez lorsque je vous parlais de certaines routes sinueuses?

Même si j’ai connue une portion de route dangereuse en Turquie ou j’ai cru finir en bas de la montagne – le reste du pays ne comporte que des lignes droites – c’est en Grèce que nous avons connus nos plus beaux spécimens 😨

Une après midi, je me suis assoupie sur la route, pour être réveillée par les mouvements du camping-car. Lorsque j’ai ouvert les yeux, j’ai réalisé que nous étions dans des lacets de montagne, j’ai poussé un petit cri en regardant le GPS ! Kevin avait même pris un screenshot 🤪

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Vous pouvez répondre à cet email pour m’écrire directement — J’adore vous lire — ou liker 💛 , commenter 💬 et partager 🔄 avec les boutons en pied de page. Je vous embrasse,

PS : Instagram ne me manque toujours pas 🫢

Certain•nes d’entre vous m’ont écrit en MP sur Instagram et d’autres sur Telegram pour avoir des nouvelles, je suis désolée mais je n’y suis plus. Pour m’écrire en direct, vous pouvez utiliser le système de MP de l’app Substack, ou m’envoyer un email johannajourney@proton.me 💛